GOOD BYE VANCOUVER - français

28/08/2013 17:54

Nous nous sommes restés à Vancouver au total 4 jours et 4 nuits, en gardant à l'esprit plusieurs aspects positifs et l'impression que nous pouvions rester quelques jours de plus. Vancouver est jeune, moderne,et offre de nombreuses choses à faire.
Vancouver est multimodal. Pour déplacer du centre-ville de Vancouver à North Vancouver, vous pouvez: prendre le seabus (bateau-bus), allez en hélicoptère (la base est à l'intérieur de la station de métro), faire un Seaflight (avion qui atterrit et décolle de la mer), passer simplement par le pont  en voiture ou sinon prendre un bateau.
Vancouver est généreuse: basée sur la confiance entre les gens, la plupart des compteurs est ouvert. Les gens paient le billet, valident et passent à travers le tourniquet qui était déjà ouvert. Nous avons pris un daypass le 10CAD chacun avec la possibilité de prendre le Skytrain (train à grande vitesse passant sur une grande ville de la piste), le métro, le bus, le seabus, le train pour l'aéroport, autant de fois souhaitée.
Vancouver est sans préjugés: l'une des choses qui nous a impressionné était la concentration très localisée des toxicomanes, «fous» et marginalisés de la ville. Serait comme si la ville entière semblait parfaite: tout est propre, beau, moderne, vert. Tout est en parfaite harmonie (parcs et bâtiments). Une seule rue est complètement à l'opposé. La rue Hasting, qui passe par le centre de la ville, pleine de gens marginalisés et qui vivent réellement dans un autre monde. Le gouvernement a mis en place des centres d'aide aux toxicomanes (distribution de seringues). Les gardes sont toujours autour à vélo. Les guides bénévoles considèrent qu'il vaut mieux  dévier. Nous ne y sommes pas aventuré  dans la nuit, mais nous avons décidé de voir ce qu'il y avait sur cette rue pendant la journée. C'était un mélange de Christiane F  (le film) avec un e maison de fous à ciel ouvert. On s'est pas senti en sécurité, alors nous avons rapidement changé de direction. Les locaux prétendent qu'il n'y a pas d'attaques armées et que, même si ces gens sont marginalisées, ils ne sont pas violents. Ils défendent alors la position de que même sur la Hasting Street, on est en sécurité et il ne faut pas s'inquieter.

Vancouver est cosmopolite: Plusieurs personnages et goûts, apportant une ambition naturelle et une constribution très riche pour le developpement de la métropole. Mais une chose nous a retenu l'attention. Comme dans toutes les grandes villes, il ya une Chinatown, à proximité de la rue Hasting, dans le centre-ville. Nous l'avons parcoru pendant des heures pour trouver quelque chose à manger à midi.
Avec l'aide d'un garde municipal, qui  nous a envoyé loin de la rue Hasting, nous avons trouvé un supermarché (pour le piquenique journalier), toujours dans Chinatown. Nous sommes entrés et trouvé un énorme centre de la cuisine chinoise, avec différentes options (par kilo, par pot, à consommer sur place, etc), où plusieurs produits chinois se mêlaient aux produits canadiens.
En demandant un peu de riz et nouilles sautées, j'ai réalisé que  la vendeuse ne parlait pas anglais. Vu qu'il nous fallait du temps pour deguster plusieurs snacks chinois, nous avons pris un peu de temps pour observer ce que se passait autour de nous: tout le monde qui travaillait à cet endroit étaient chinois. Même les publicités sur les micros étaient parlées en chinois. Nous avons ensuite commencé à parler du sujet. Goulven, qui n'avait jamais vu un Chinatown, avait encore de nouveaux yeux (que nous perdons lorsqu'on voyagez trop, dommage). Il m'a posé des questions, que je ne pouvais pas y répondre, mais  qui m'avaient déjà traversé l'esprit surtout quand je me suis rendu Chinatown à New York. Comment un peuple peut créer des établissements entierement chinois dans les centres des grandes villes du monde? Comment peut-on obtenir un visa de travail, acheter immeuble de supermarché, même mettre le nom des rues en chinois? Comme ils entrent dans les pays et se développent d'une manière si rapide et si fermée à l'intérieur de leur culture? Goulven m'a fait réalisé que les Chinois sont un peuple facile: ils ne font pas de bruit, il ne vous embête pas, et ils travaillent. Tous  travaillent. Ok, mais où le chinois dépensent leur argent (laissés par nous dans leurs magasins?) Ils achètent ce qu'ils vendent. Malins, ces Chinois. En tout cas, nous étions, pendant quelques heures en Chine. Un peu plus tard dans notres séjour, nous avons découvert  avec des canadiens et américains que les chinois ont aidé  à construir le chemins de fèr dans ces pays. Et ils y sont resté, sans trop se mélanger, dans la Chine du Canada, dans la Chine des EUA...

Vancouver est hospitalier: plusieurs points d'information pour les visiteurs et les voyageurs existent partout. Habituellement, ils sont chemise bleue, et ils sont tous bénévoles. L'idée est de montrer combien ils aiment vivre dans la ville, et aussi de promouvoir un tourisme conscient. Il ya aussi un concours annuel de la meilleure "hôte" de l'année parmi les Vancouvérois. L'environnement agréable cette place dans le bus (dans tous pris environ 30), où l'état d'esprit des pilotes est grand.